* Les Dix moyens de repousser le châtiment du Feu *
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* Les Dix moyens de repousser le châtiment du Feu *
Shaikhul-Islam Ibn Taymiya (rahimahullah) a dit dans son fabuleux livre :
« Minhaj As-Sunna » ou « La voie de la Sunna » :
« ... Et
certainement les péchés, dans l'absolu, commis par n'importe quel
croyant, sont la cause du châtiment. Mais ce châtiment par le Feu dans
l'au-delà, pour ces péchés commis, peut être repoussé par dix moyens :
•
Le premier moyen : Le repentir : La personne
qui se repent d'un péché peut être assimilée à une personne qui n'a
commis aucun péché, et le repentir est accepté pour tout péché :
l'impiété, le libertinage, la désobéissance.
le Très-Haut a dit :
« Dis à ceux qui ont
mécru que s'ils cessent, Il leur pardonne ce qu'il ont pu faire »
Quant
aux propos rapportés du Prophète , ils sont très nombreux et
connus.
• Le deuxième:
Demander l'absolution qui consiste à implorer le pardon et qui est une
forme d'invocation et de requête. En général, elle est toujours associée
au repentir et est exigée, bien qu'une personne puisse se repentir sans
invoquer et invoquer sans se repentir.
• Le troisième: Les œuvres pieuses :
le Très Haut dit :
" Les bonnes œuvres
effacent les mauvaises "
Le Prophète a donné les
recommandations suivantes à Mu'adh Ibn Jabal : « Ô Mu'adh ! Où que tu
sois, crains , et fais suivre une mauvaise action par une
bonne action qui l'effacera. Et traite les gens avec bonté ».
• Le quatrième: L'invocation faites pour les
croyants: La prière mortuaire de musulmans sur un mort et leurs
invocations en sa faveur sont un moyen d'obtenir l'absolution, de même
que leurs invocations et leurs demandes d'absolution en d'autres
circonstances que la prière mortuaire.
• Le cinquième: L'invocation faite par le Prophète et sa demande d'absolution
de son vivant ou après sa mort : comme par exemple son intercession
(chafa'a) au Jour de la Résurrection.
• Le sixième: Toute œuvre pieuse accomplie (pour le défunt) après
sa mort et qui lui est dédiée : comme de faire l'aumône pour lui ou
d'accomplir le pèlerinage ou de jeûner en son nom. Il a été rapporté
dans des hadiths authentiques que ces œuvres lui parviennent et lui sont
bénéfiques, et ce sans faire référence aux invocations faites par son
enfant qui sont considérées comme faisant partie des œuvres du parent.
Le Prophète a dit :
« Lorsque
le fils d'Adam décède, ses œuvres sont stoppées à l'exception de trois :
une aumône continue, ou une science utile, ou un enfant pieux qui
invoque en sa faveur ». Rapporté par Muslim.
Son enfant fait
partie de ses biens et les invocations de son enfant lui sont comptées
comme si elles étaient de ses œuvres. Contrairement aux invocations
d'une personne autre que son enfant, qui ne sont-elles pas comptées
comme faisant parties de ses œuvres. Et fait en sorte qu'elles lui soient profitables.
• Le septième: ,Les épreuves de la vie ici-bas
par lesquelles expie les péchés : comme il a été rapporté dans
le Sahih ,
le Prophète a dit :
« Pour
toute maladie, souffrance, chagrin, affliction, tristesse ou préjudice
qui atteint un croyant, ne serait-ce qu'une épine qui le pique, Allah
lui expie ses péchés ».
• Le
huitième: Les épreuves que subit le croyant dans sa tombe : la
compression dans sa tombe et l'épreuve des deux anges.
• Le neuvième: Les angoisses de la terreur du Jour
de la Résurrection qu'il connaîtra dans l'au-delà.
• Le dixième: Ce qui est attesté dans les deux
Sahih : Les croyants, lorsqu'ils passent sur le Sirat, parviennent à un
pont entre le Paradis et l'Enfer. Ils se dédommageront mutuellement de
leurs offenses. Lorsqu'ils seront épurés et nettoyés, on leur autorisera
l'entrée au Paradis.
Ces raisons ne peuvent toutes
échapper au croyant excepté un tout petit nombre ». Fin de citation.
Il
dit également dans un autre passage :
« Et nous avons dit à
plusieurs reprises : qu'un homme pieux, pour lequel on témoigne du
Paradis peut avoir commis des péchés pour lesquels il s'est repenti, ou
que ses bonnes actions ont effacé, ou qu'ils aient été expiés par les
épreuves qu'il a subi ou autre chose encore. Le croyant, s'il commet un
péché, bénéficie de dix moyens pour repousser le châtiment du Feu :
Trois viennent de lui, trois autres d'autrui et
quatre sont attribuées par Allah :
- Le repentir, demander
l'absolution et les bonnes actions qui effacent les péchés.
- Les
invocations des croyants en sa faveur, les œuvres pieuses qu'ils lui
dédient et l'intercession de notre Prophète.
- Les épreuves
d'ici-bas par lesquelles absout les péchés, dans le Barzakh (Le Barzakh
est la vie intermédiaire entre les deux mondes : entre la vie d'ici-bas
et le Jour de la Résurrection) , dans les différentes étapes du Jour de
la Résurrection et l'absolution d'Allah par Sa grâce et Sa miséricorde
». Fin de citation.
Article tiré du site sahab.net
Source
: Son ouvrage Minhaj As-Sunna
Traduit par Abû 'Abdillah
Revu par
les salafis de l'Est
« Minhaj As-Sunna » ou « La voie de la Sunna » :
« ... Et
certainement les péchés, dans l'absolu, commis par n'importe quel
croyant, sont la cause du châtiment. Mais ce châtiment par le Feu dans
l'au-delà, pour ces péchés commis, peut être repoussé par dix moyens :
•
Le premier moyen : Le repentir : La personne
qui se repent d'un péché peut être assimilée à une personne qui n'a
commis aucun péché, et le repentir est accepté pour tout péché :
l'impiété, le libertinage, la désobéissance.
le Très-Haut a dit :
« Dis à ceux qui ont
mécru que s'ils cessent, Il leur pardonne ce qu'il ont pu faire »
Quant
aux propos rapportés du Prophète , ils sont très nombreux et
connus.
• Le deuxième:
Demander l'absolution qui consiste à implorer le pardon et qui est une
forme d'invocation et de requête. En général, elle est toujours associée
au repentir et est exigée, bien qu'une personne puisse se repentir sans
invoquer et invoquer sans se repentir.
• Le troisième: Les œuvres pieuses :
le Très Haut dit :
" Les bonnes œuvres
effacent les mauvaises "
Le Prophète a donné les
recommandations suivantes à Mu'adh Ibn Jabal : « Ô Mu'adh ! Où que tu
sois, crains , et fais suivre une mauvaise action par une
bonne action qui l'effacera. Et traite les gens avec bonté ».
• Le quatrième: L'invocation faites pour les
croyants: La prière mortuaire de musulmans sur un mort et leurs
invocations en sa faveur sont un moyen d'obtenir l'absolution, de même
que leurs invocations et leurs demandes d'absolution en d'autres
circonstances que la prière mortuaire.
• Le cinquième: L'invocation faite par le Prophète et sa demande d'absolution
de son vivant ou après sa mort : comme par exemple son intercession
(chafa'a) au Jour de la Résurrection.
• Le sixième: Toute œuvre pieuse accomplie (pour le défunt) après
sa mort et qui lui est dédiée : comme de faire l'aumône pour lui ou
d'accomplir le pèlerinage ou de jeûner en son nom. Il a été rapporté
dans des hadiths authentiques que ces œuvres lui parviennent et lui sont
bénéfiques, et ce sans faire référence aux invocations faites par son
enfant qui sont considérées comme faisant partie des œuvres du parent.
Le Prophète a dit :
« Lorsque
le fils d'Adam décède, ses œuvres sont stoppées à l'exception de trois :
une aumône continue, ou une science utile, ou un enfant pieux qui
invoque en sa faveur ». Rapporté par Muslim.
Son enfant fait
partie de ses biens et les invocations de son enfant lui sont comptées
comme si elles étaient de ses œuvres. Contrairement aux invocations
d'une personne autre que son enfant, qui ne sont-elles pas comptées
comme faisant parties de ses œuvres. Et fait en sorte qu'elles lui soient profitables.
• Le septième: ,Les épreuves de la vie ici-bas
par lesquelles expie les péchés : comme il a été rapporté dans
le Sahih ,
le Prophète a dit :
« Pour
toute maladie, souffrance, chagrin, affliction, tristesse ou préjudice
qui atteint un croyant, ne serait-ce qu'une épine qui le pique, Allah
lui expie ses péchés ».
• Le
huitième: Les épreuves que subit le croyant dans sa tombe : la
compression dans sa tombe et l'épreuve des deux anges.
• Le neuvième: Les angoisses de la terreur du Jour
de la Résurrection qu'il connaîtra dans l'au-delà.
• Le dixième: Ce qui est attesté dans les deux
Sahih : Les croyants, lorsqu'ils passent sur le Sirat, parviennent à un
pont entre le Paradis et l'Enfer. Ils se dédommageront mutuellement de
leurs offenses. Lorsqu'ils seront épurés et nettoyés, on leur autorisera
l'entrée au Paradis.
Ces raisons ne peuvent toutes
échapper au croyant excepté un tout petit nombre ». Fin de citation.
Il
dit également dans un autre passage :
« Et nous avons dit à
plusieurs reprises : qu'un homme pieux, pour lequel on témoigne du
Paradis peut avoir commis des péchés pour lesquels il s'est repenti, ou
que ses bonnes actions ont effacé, ou qu'ils aient été expiés par les
épreuves qu'il a subi ou autre chose encore. Le croyant, s'il commet un
péché, bénéficie de dix moyens pour repousser le châtiment du Feu :
Trois viennent de lui, trois autres d'autrui et
quatre sont attribuées par Allah :
- Le repentir, demander
l'absolution et les bonnes actions qui effacent les péchés.
- Les
invocations des croyants en sa faveur, les œuvres pieuses qu'ils lui
dédient et l'intercession de notre Prophète.
- Les épreuves
d'ici-bas par lesquelles absout les péchés, dans le Barzakh (Le Barzakh
est la vie intermédiaire entre les deux mondes : entre la vie d'ici-bas
et le Jour de la Résurrection) , dans les différentes étapes du Jour de
la Résurrection et l'absolution d'Allah par Sa grâce et Sa miséricorde
». Fin de citation.
Article tiré du site sahab.net
Source
: Son ouvrage Minhaj As-Sunna
Traduit par Abû 'Abdillah
Revu par
les salafis de l'Est
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